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atrice. En tant que révolutionnaires, c’est de ce
point de vue
central et seul efficacement critique que nous devons envisager les p
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leur usage par les hommes de ce temps est à tous
points de vue
le plus irrespirable à l’homme. 2° Les fondements idéologiques de ce
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association des mécaniciens d’Amérique exprime ce
point de vue
en une phrase typique : « La grande majorité des ouvriers parle de Jé
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mme qui se dit chrétien. (Je ne dis pas cela d’un
point de vue
antichrétien.) Mais c’est aussi pourquoi il y a une suprême imposture
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s et l’âme : c’est qu’il les a mal distingués. Du
point de vue
de la personne, le corps et l’âme sont deux aspects de l’homme concre
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e » vivante et organique, à la multiplication des
points de vue
irréels, mais logiques et simples. (C’est ainsi que l’on a cru pouvoi
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urs nécessités historiques, critiquons même de ce
point de vue
certaines erreurs que commettent leurs chefs : nous ne pourrons jamai
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ù nous en sommes, on ne refait pas un art avec un
point de vue
d’art, ou de philosophie, ou de morale, mais en refaisant une société
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es par quelques officiers du grand état-major. Du
point de vue
de la tactique révolutionnaire et contre-révolutionnaire, je ne conna
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Accorder libre cours à nos superstitions, qui au
point de vue
psychologique sont notre vraie réalité, ce serait jeter la société da
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ne raison d’être ? J’essaierai de répondre ici du
point de vue
qui me paraît le plus fécond non seulement pour l’esprit et l’homme e
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nt fait sa nature et sept siècles d’histoire : le
point de vue
du personnalisme. ⁂ La question de la neutralité est peut-être la plu
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e est vrai, par conséquent doit être dit, soit du
point de vue
des romantiques — si l’on croit à Iseut —, soit du point de vue du cl
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es romantiques — si l’on croit à Iseut —, soit du
point de vue
du clerc parfait — si l’on croit à son œuvre —, soit du point de vue
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rc parfait — si l’on croit à son œuvre —, soit du
point de vue
spirituel pur, pour ceux qui croient. Il n’est possible alors d’affir
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amour, « il commence par le réduire à néant ». Du
point de vue
du monde et de la vie naturelle, Dieu apparaît alors comme « mon enne